Un courageux nayais au doux nom de Dupont m’avait fait part aimablement de son incompréhension légitime à la lecture d’un article.
Je pris le temps d’une relecture salvatrice et apposé un éclairage plus précis à mon écrit…
A suivre, merci…
Un courageux nayais au doux nom de Dupont m’avait fait part aimablement de son incompréhension légitime à la lecture d’un article.
Je pris le temps d’une relecture salvatrice et apposé un éclairage plus précis à mon écrit…
A suivre, merci…
Un courageux nayais au doux nom de Dupont, qui s’attacherait particulièrement aux fautes d’orthographe qui peuvent être liées aux fautes de frappe, ne semble guère attiré par l’ensemble des faits évoqués ou suggérés. Il peut également s’agir d’erreur de syntaxe (La syntaxe regroupe les principes et les règles de construction des phrases dans un langage naturel), je m’efforcerais de moins choquer d’éventuels lecteurs sensibles…
Cela ne m’étonne aucunement, certes je peux comprendre et m’excuser des erreurs commises, elles sont simplement humaines.
Mais l’aveuglement doublé d’une absurde ignorance me consterne plus particulièrement, je ne souhaite l’excuser lorsqu’elle s’apparente à de la rancœur déplacée …
Je n’ai et n’aurai pas à prendre part à de tels jeux imbéciles !
Pour info, je dispose d’un outil qui me permet de connaître l’adresse de mes interlocuteurs et de la récupérer …
J’ai choisi de ne pas ouvrir l’option commentaires, pour l’heure, car ils sont souvent diffamatoires et n’apportent rien de bien éclairant. Ce qui démontrent bien le pseudo courage dont font preuve nos concitoyens !
Je pourrais vous offrir des échanges face à face constructifs et informatifs, cela me semble bien plus courageux si vous osez !
Il serait plus souhaitable d’aider son prochain à ne point commettre des erreurs, pour le moins lui signifier courtoisement, plutôt que de projeter ses propres lacunes intellectuelles envers autrui… C’est précisément la teneur de mes écrits !
Les méandres de l’histoire sont parfois au diapason…
Les héritages politiques sont orphelins de nos jours…
Ils s’en sont allés voir sous d’autres cieux…
De grands penseurs sont partis pour continuer leurs débats sous d’autres horizons, faute de n’être entendu de leur vivant !
Ils sont tous encensés à présent, vilipendés quant ils étaient en responsabilité car trop entiers, révoltés par la saine vision de leurs esprits aiguisés…
Le reproche souvent émis de leur ‘’verbe haut’’ qu’ils affirmaient à l’encontre des usages politique corrects, ne reçu guère l’écho mérité…
Beaucoup s’accordent à leur donner raison, au final l’état d’avancement de nos affaires ne se déroula jamais selon leurs dires, prédictions…
Ils demeurent, malgré tous par ces temps difficiles, ces citoyens engagés, révoltés par tant d’indécision qui un jour prochain se retrouveront. Ils pourront unir leurs efforts, leurs pensées pour le bien de tous…
Ma conscience politique semble éloignée des «esprits décideurs» nayais.
Une gestion éloignée de vos attentes perdure depuis bien des générations d’élus !
Certes Nay n’est pas seule à subir une situation dégradée dans l’exercice (plutôt l’absence) de sa gestion globale.
Nous sommes dans l’obligation de présenter des comptes en équilibre, il n’y a guère de mérite à mettre en avant cet affichage en s’appropriant des résultats comme nombre d’élus s’empressent d’en faire une preuve de bonne gestion, une revendication affirmée.
Nous pourrions même baisser le niveau d’imposition par une maîtrise des dépenses, une gestion efficiente…
Envisageons-nous un instant des investissements d’avenir dans d’éventuelles économies d’énergie ? Rien dans les esprits…
Envisageons-nous une réhabilitation de notre Bastide aux façades dégradées, aux intérieurs éloignés des normes.
Or, la volonté toute béarnaise de ne rien montrer comme signe de richesse à l’extérieur fait apparaître un étrange visage à nos visiteurs déçus par l’apparence de notre cité appelée jadis « Nay la jolie ».
Pensons-nous un seul instant aux jeunes générations et celles à venir ?
Certainement pas l’ensemble de nos élus passés sous les ‘’décombres’’ de notre mairie.
Endettement, conséquent, laissé à la charge des générations futures (eh alors…), toujours prévu à la hausse, politique classique nombriliste. Perspective, hauteur de vue, vision d’avenir, absente ou pharaonique, pas de demi mesures…
Nous habitions pourtant, me semble t’il la même cité. Nous ne partageons pas les mêmes valeurs, la même humanité, nous les revendiquons malgré tout. Une haine latente prend racine dans le terreau d’une bêtise absurde, doublé du manque flagrant de la volonté de communiquer sereinement ! Ecouter, dialoguer, se comprendre, sans feindre d’être dans une posture d’affichage coutumier, serait la base saine du début de résolution de nos ennuis…
Même nos jeunes esprits, non contaminés par des parents non initiés aux joies d’une saine compréhension de la gestion d’une cité, sont à même d’énoncer des idées sur des problématiques actuelles, quotidiennes…
Les adultes guerroient, tergiversent, étudient encore et toujours… Ils ont eux le droit de voter ! Assurément ils ne sont pas ouverts, peu disponibles, peu enclin à la compréhension de suggestions, d’idées, c’est même un euphémisme !
Nos élus successifs provoquent pendant et après chaque mandature des incompréhensions qui amènent des nouveaux opposants et forment les futurs.
Comment tenter de construire dans une posture éternelle ‘’CONTRE’’ alors que la raison montre le chemin d’édifier un programme à réaliser ‘’POUR’’ surtout pour l’ensemble !
A quand la conjonction de la raison et de la volonté ?
Je vous souhaite le meilleur pour vous-même et tous vos proches…
La santé essentielle et primordiale !
Le bonheur tant recherché, souvent à portée de soi, tant convoité chez autrui, tant de petits bonheurs simples à vivre et partager que nous avons chacun chez soi…
La prospérité méritée par son labeur, espérée pour ses proches, surtout par ces temps difficiles…
Ces voeux énoncés chaque nouvelle année ne dépendent guère de votre serviteur, encore sont ils prononcés avec sincérité essentiellement pour le devenir de notre ‘’cité commune’’.
Cordialement.
La relecture d’anciens bulletins municipaux, en vue de l’élaboration d’un ‘’futur nouveau numéro’’ est tout à fait édifiante.
La mise en perspective six années plus tard des propos tenus dans les huit pages du bulletin N°1 de mars 2003 de la précédente mandature, pour un coût non négligeable au demeurant, permet de juger de l’absence concrète des ‘’ex-futures’’ réalisations de l’époque.
Faire imprimer un bulletin soit disant informatif de l’action des acteurs politiques en place sert-il réellement à quelque chose ? Acteur le mot est juste par ailleurs. Nombreux sont les affichages de complaisances… Rouler dans la farine avec de beaux mots, aux vues électoralistes, des citoyens qui ne perçoivent rien de leurs représentants élus au sein d’une mairie hermétique…
« Dormez tranquillement vos élus s’occupent de tout pour votre bien » tel un vil serpent hypnotisant un « ayez confiance, tout va bien… »
Je vous exposerai plus loin cette mise en perspective des mots écrits dont je fais mention ci-dessus…
Je ne suis pas le seul à avoir espéré être force de propositions, certes alternatives, crédibles pour la ville de Nay.
Faute d’une écoute réelle, cet espoir est à présent déçu.
L’isolement semble le seul devenir de nos premiers magistrats successifs, ou du moins exercent-ils une gouvernance en comité restreint d’initiés (es)…
Ils demeurent, se persuadent être les seuls à pouvoir suivre et porter des dossiers pour leur ville. Le pouvoir ne se partage pas ! Certes il existe quelques délégations, mais point trop au final puisque les décisions importantes sont du ressort d’un seul dans son alcôve décisoire…
Pourtant nos exécutifs sont dotés d’élus responsables qui sont tout aussi capables de porter des projets pour le bien être de leurs concitoyens et de rendre compte.
Si cette pratique, souhaitée se réalisait, alors nous pourrions voir émerger de nouvelles ‘’têtes’’, former une relève capable de défendre auprès d’institutions supérieures nos projets sans attendre des années de pratiques politiques pour comprendre les rouages, les mécanismes décisionnaires…
A de maintes reprises, de fortes sollicitations ont été demandées afin d'initier des réunions de notre exécutif. A ce jour, après dix huit mois, trois réunions dont deux de l'exécutif ont été organisées sans pouvoir aborder réellement les questions de fond et la politique d'avenir de notre cité, sans émettre le moindre avis. Passer outre les faux semblants demeure impossible pour l'heure, ce n'est pas comme cela que s'exerce la politique !
Un ancien ministre disait que si l'on était pas d'accord, le choix présenté à l'élu en ''peine'' de démocratie était la démission ou bien le silence complaisant !
Comment faire entendre ses idées avec de telles perspectives, sans débat, sans dialogue constructif ?
Pratique politique vaine à Nay ?
Il n’est guère de résolutions attendues qui puissent s’enorgueillir du seau ‘‘Démocratique’’.
L’un des leitmotiv en cours dans notre cité est : ‘‘on ne peut pas’’, cela depuis bien des générations successives d’élus ! Ou alors ‘‘je ne dis rien, je ne vois rien, je n’entends rien...’’. Pourtant, vous êtes trop nombreux rendus irascibles, aux fils d’élections «qui n’ont rien changé» à voir et entendre beaucoup. Ces faits et paroles (observées, entendues) deviennent rumeurs colportées, fondées sur l’incompréhension, l’absence d’explications. Vous en parlez à vos entourages, ces rumeurs s’amplifient, rarement dans la bonne direction. Où sont passés les êtres dotés de ‘‘bon sens’’, les pieds sur terre ?
Pourrions nous tenter de poser les jalons d’une attitude, d’une pensée positive, en totale opposition à l’ambiance actuelle et passée. Chaque projets ou questions à résoudre devraient faire l’objet d’explications, d’informations afin d’amener les élus à faire un choix en toute sérénité, détachés de toutes obligations (service à rendre à...) s’éloigner de tout intérêt ! Or faute de temps à consacrer aux autres, les élus responsables en charge s’exonèrent de suivre cette vaine pratique, de tout compte rendu sur leur ‘‘action’’ (à ce qu’ils disent). Comme l’exige la loi, un règlement intérieur de fonctionnement à destination du conseil municipal a été adopté. Il semble au demeurant bien rédigé, inspiré des textes légaux mais semble peu compréhensible à ce jour...
Nous devons en 2009 déplorer le manque d’intérêt, de sensibilité envers cette philosophie démocratique, pourtant à l’origine de notre système français. La revendication affichée de la précédente équipe était d’être des représentants convaincus d’un parti dit démocrate. Que n’est-on prêt à prétendre afin d’assurer une réélection. Or, l’histoire passée et actuelle, montre que tous les élus s’affichent comme démocrates, humain, attaché à l’histoire sociale de Nay, le regard porté vers l’activité commerciale, industrielle et artisanale forte, une parole forte et rassurante au monde associatif très présent à Nay, la main sur le coeur. Personne n’oserait en douter, face aux prétendants ! Bref, c’est un parcours obligé pour des affichages politiques à des fins électoralistes... L’esprit, les pratiques politiques en cours empêchent toute critiques constructives, même pour son propre camp !
Je suis souvent présenté comme un Don Quichotte, révolté par tant d’indécision, un méchant ‘‘révolutionnaire’’ qui n’entend rien aux pratiques béarnaises, moi l’étranger.
Quel exemple donnons nous à nos enfants. Certains d’entre nous projetons nos propres haines, notre racisme, notre ignorance ou nos soit disant croyances. Nous éduquons dans cette ambiance absurde des esprits qui ne demandent qu’à vivre ensemble sans les préjugés d’adultes. Ces derniers se prétendent responsables, passé 18 ans, ils acquièrent un droit de vote sans connaître tous les tenants et aboutissants d’une politique, le plus souvent d’affichage, qui fini par révolter tant de citoyens amères de ne rien percevoir comme changement. Au final l’amertume gagne toute la population de se sentir berné, ballotté d’élection en élection.
Alors j’ose, je m’autorise ces quelques lignes...l’honnêteté est un réel ‘‘défaut’’ (dans les 2 sens du terme) en politique. A cette heure, il faut enfin rendre audible une autre parole celle de la vérité. Je dénonçais lors de la campagne des réunions en comité restreint d’initiés afin de décider. Cela perdure !
Modeste Révolté, Humainement Vôtre...
A l'écoute attentive et admirative d'un ancien diplomate français également ancien résistant, Stéphane HESSEL, exprimant en toute simplicité qu'une minorité active qui s'engage ''avec un esprit volontaire'' est en vérité le levain d'une société en résistance contre les idéaux actuels qui ne fonctionnent plus pour un grand nombre d'entre nous.
Comment pouvons nous oublier aussi vite notre histoire commune ?
Nos aînés nous ont légué toute une histoire riche, nous aurions beaucoup à gagner à nous souvenir de nos racines.
L'individualisme de notre société, l'humanité pressée d'arriver personne ne sait où, rejette toute idée de fédérer les idées des êtres utopistes guidées par de bonnes et honnêtes intentions.
Une minorité demeure éveillée, je vous l'assure. Elle doit vous proposer une autre alternative. Il nous faut partager et écouter en toute réciprocité nos analyses et nos commentaires. Faire se rencontrer des citoyens convaincus et concernés par la politique (gestion) de notre cité, cela sera une étape prochaine à définir et à vous proposer...
Tous les êtres positifs, profondément humains excluant tout racisme intellectuel, social... seront amenés à résister...
Telles les paroles du Chant des Partisans :
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?...
En 2009, l'absence de courage pour se parler franchement, sans les faux semblants politiciens habituels, perdure. C'est regrettable. Le racisme demeure, surtout dans ces temps troublés, sous toutes ses formes détestables. La lecture de Pagnol est édifiante, malheureusement toujours d'actualité.
Il fut un temps où le président Mitterrand évoquait ces ''chiens'' que l'on avait lâché à l'endroit de son premier ministre.
C'est à mon tour d'affronter la calomnie de personnes qui, sans connaître vraiment celui qui voit son nom jeté en pâture sans aucune forme de procès, se permettent de salir l'histoire d'une famille guidée par l'honnêteté, la justice. En retour, cette famille s'honore par des services rendus envers un pays d'accueil et ses habitants.
Le manque de courage s'exerce outre par des courriels, essentiellement par personnes interposées. Les regards croisés en disent long sur des paroles mal entendues, colportées devenues rumeurs blessantes. Quel courage !
Il est des élus qui s'investissent tous les jours pour exhumer des dossiers que nul n'a osé étudier de près. Ces études sont édifiantes et encourageantes sur nos possibilités de changement, ce mot pourtant fait peur. Il me semble que nous avions choisi de changer avec vous. Or ce slogan était destiné à ceux qui croient aux mots, les faits sont d'une autre teneur.
Je résisterai pour Nay et ses habitants, je tenterai de rallier ceux qui croient au vrai changement...
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