Posons les jalons d'un dialogue positif, constructif afin de réconcilier tous les nayais sans exception pour le devenir de leur cité. Accepter les différences sans haine, animosité...
Je demeure surpris à la lecture des pages vues quotidiennement par un certains nombre de ‘’suiveurs’’...
Je préfère vous faire partager cette chanson, car aux vues du triste spectacle de nos élites politiciennes de tous bords, je vous l’avoue, cela fait un bien fou de prendre l’air et tenter un autre regard sur autrui et d’accorder la priorité absolue à mes proches...
Je demeure surpris à la lecture des pages vues quotidiennement par un certains nombre de ‘’suiveurs’’...
Je préfère vous faire partager cette chanson, car aux vues du triste spectacle de nos élites politiciennes de tous bords, je vous l’avoue, cela fait un bien fou de prendre l’air et tenter un autre regard sur autrui et d’accorder la priorité absolue à mes proches...
Un peu d’humour permet un autre éclairage sur l’actualité (en ces temps de crise car nous serions en crise paraît-il)...
Le génial Raymond DEVOS, n’a pas d’égal !
Je vous conseille le regard de ‘’mon œil’’ qui offre un éclairage différent sur le comportement de nos élites.
L’heure est venue d’annonces journalières de vaines promesses à l’aune de l’élection présidentielle qui a déjà commencée !
Je suis conscient de la difficulté d’être en responsabilité, de la gestion communale jusqu’à la gestion de l’état. Or, les défauts initiés à l’aube d’une carrière politique, ne peuvent guère évoluer favorablement au fur et à mesure de la montée en responsabilité !
Le défaut le plus souvent constaté est le détachement de nos élites de la base du peuple des citoyens. J’évoquais la crise ci-dessus, mais la crise pour qui ? Ce qui semble certain, c’est que nous allons tous payer les errements avérés dans tous les échelons, de celui de la commune à celui de nos ministères. Il semble difficile de céder au ‘’plaisir’’ de cumuler plusieurs fonctions électives et les émoluments qui vont de pair !
Comment justifier que la gestion est plus efficiente quand nos élites proclament qu’il leur est aisé de cumuler plusieurs fonctions. Les modestes citoyens sont confinés aux 35 heures, acquis remis en question tout comme les loisirs qui vont de pair. Pendant que nos élites élues peuvent enchaîner allègrement, une activité professionnelle avec les nombreuses heures passées aux services d’autrui, avec une indemnité qui confirme le slogan présidentiel : ‘’travailler plus pour gagner plus’’... Alors, pourquoi ne pas en faire profiter plus de personnes dans la nécessité également citoyens ?
Il semble avéré par tous les experts économiques, politiques que trente années d’une gestion en alternance droite / gauche, est donnée comme résultat les chiffres irréalistes (pour le commun des citoyens), ci-dessous :
La pente à remonter s’avère difficile, sommes nous déjà une civilisation en déclin, ou pas ?
L’élection présidentielle est l’occasion d’y croire, ou pas !
Je m’appelle Moussa, j’ai 10 ans, je suis en CM2 à Epinay Ville du 93 où j’ai grandi et où je suis né Mon école elle est mignonne même si les murs sont pas tout neufs Dans chaque salle y’a plein de bruits, moi dans ma classe on est 29 Y’a pas beaucoup d’élèves modèles et puis on est un peu dissipés Je crois que nous sommes ce qu’on appelle des élèves en difficulté Moi en math je suis pas terrible mais c’est pas pire qu’en dictée Ce que je préfère c’est 16h, je retrouve les grands dans mon quartier Pourtant ma maîtresse je l’aime bien, elle peut être dure mais elle est patiente Et si jamais je comprends rien, elle me réexplique, elle est pas chiante Elle a toujours plein d’idées et plein de projets pour les sorties Mais on n’a que 2 cars par an qui sont prêtés par la mairie Je crois que mon école elle est pauvre, on n’a pas de salle informatique On n’a que le préau et la cour pour faire de la gymnastique A la télé j’ai vu que des classes faisaient du golf en EPS Nous on n’a que des tapis, des cerceaux et la détresse de nos maîtresses
Alors si tout se joue à l’école, il est temps d’entendre le SOS Ne laissons pas se creuser le fossé d’un enseignement à 2 vitesses Au milieu des tours, y’a trop de pions dans le jeu d’échec scolaire Ne laissons pas nos rois devenir fous dans des défaites spectaculaires
L’enseignement en France va mal, personne ne peut nier la vérité Les zones d’éducation prioritaire ne sont pas une priorité Les classes sont surchargées pas comme la paye des profs minés Et on supprime des effectifs dans des écoles déjà en apnée Au contraire, faut ajouter des profs et d’autres métiers qui prennent la relève Dans les quartiers les plus en galère, créer des classes de 15 élèves Ajouter des postes d’assistants ou d’auxiliaires qui aident aux devoirs Qui connaissent les parents et accompagnent les enfants les plus en retard L’enseignement en France va mal, l’Etat ne met pas assez d’argent Quelques réformes à 2 balles pour ne pas voir le plus urgent Un établissement scolaire sans vrai moyen est impuissant Comment peut-on faire des économies sur l’avenir de nos enfants L’enseignement en France va mal car il rend pas les gens égaux Les plus fragiles tirent l’alarme mais on étouffe leur écho L’école publique va mal car elle a la tête sous l’eau Il n’y a pas d’éducation nationale, y’a que des moyens de survie locaux Alors continuons de dire aux petits frères que l’école est la solution Mais donnons leur les bons outils pour leur avenir car attention La réussite scolaire dans certaines zones pourrait rester un mystère Et l’égalité des chances, un concept de ministère
Alors si tout se joue à l’école, il est temps d’entendre le SOS Ne laissons pas se creuser le fossé d’un enseignement à 2 vitesses Au milieu des tours, y’a trop de pions dans le jeu d’échec scolaire Ne laissons pas nos rois devenir fous dans des défaites spectaculaires
Je m’appelle Moussa, j’ai 10 ans, je suis en CM2 à Epinay Ville du 93 où j’ai grandi et où je suis né C’est pas de ma faute à moi si j’ai moins de chances d’avoir le Bac C’est simplement parce que je vis là que mon avenir est un cul de sac
Ce mercredi 8 juin 2011, monsieur André Narritsens, membre du bureau de l’institut CGT d’histoire sociale a donné une conférence débat, au CMS, intitulée : Que s’est-il passé à Nay le 12 juin 1944 ?
Près de 120 citoyens ont suivi avec attention outre l’énoncé des faits historiques de M. Narritsens, le récit et les observations d’un des anciens Francs tireurs et partisans (FTP) Louis Lebris, du fil de Maxime Boyrie, Francis, très ému devant l’assistance intergénérationnelle, également par le sort dévolu à la plaque commémorative apposée en l’honneur de son père mort pour la patrie.
La soirée retrace la fin de journée du 12 juin 1944 à Nay où un groupe de Francs tireurs et partisans étaient venu faire une opération spectaculaire, symbolique. Cette dernière consistait par la saisie de deux bœufs du maire de l’époque désigné par le pouvoir de Vichy de redistribuer gratuitement la viande aux citoyens opprimés, affamés. Au moment du repli des FTP, une colonne allemande entre dans Nay via le carrefour des Quatre Chemins. Le premier martyr Nayais, Jean Seignères, fut fusillé le soir même. Le second fut Maxime Boyrie venu en renfort à l’entrée du pont devant le garage, tué d’une balle par les allemands lancés dans une contre attaque.
La suite de ce récit historique, le texte et la vidéo de la conférence est disponible sur le site de madame Claude Larrodé : http://claude.larrode.free.fr/
Une cérémonie de commémoration a eu lieu ce dimanche 12 juin 2011 au monument aux morts, en souvenir des deux FTP, Maxime Boyrie et Jean Seignères.
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