Il semble très utile de bien ranger toutes les notes, lettres, informations écrites émanant de la mairie. Leur relecture à posteriori est fort recommandée.
Pour preuve, cette lettre en réponse d’une décision prise avec le conseil municipal où nous aurions décidé de choisir la graphie béarnaise pour la signalétique de Nay.
Je n’ai retrouvé aucune trace d’un quelconque vote, d’aucune réunion informative, aucun débat. Une fois de plus, nous est imposée une décision unilatérale, voire personnelle…ou en comité restreint !
Est-ce de la complaisance entre anciens adversaires compréhensifs ?
Rien ne semble appliqué à ce jour, nos panneaux sont pour certains dans un piètre état, illisibles et perdus au milieu de tant d’autres... Nous versons des redevances. Qu’en pensent nos visiteurs ou nos amis de la plaine ? Et vous ?
Il y a peu de temps, je fus surpris, à la lecture d’une publication destinée aux seuls élus et agents municipaux, de la teneur d’écrits constitutifs qui semblaient porter d’étranges germes polémiques.
Je m’en suis inquiété auprès de notre Maire afin de connaître qu’elle était ce nouveau mode de communication. Si ce dernier avait donné son aval à cette édition.
Pour vous permettre de comprendre, nous avons reçu dans nos casiers de conseillers un feuillet couleur de quatre pages A4. A première lecture il m’avait semblé qu’une information culturelle nous était destinée retraçant les événements de Noël, un spectacle à la
En préambule, un éditorial dont je me pose la question de sa destination fut assez désagréable à lire voire pitoyable.
Nous y apprenons en plus l’octroi de cadeaux aux élus. Je fus consterné par cette idée. J’ai décidé que ce n’était pas aux élus de se faire des cadeaux mais aux citoyens et de rendre se cadeau dont je ne m’estimait pas redevable. Je pense savoir n’être pas le seul…
Une réponse affirmative me fut apportée sur l’accord donné par notre Maire pour cette publication. Au départ cela émanait d’un agent dont je peux comprendre le projet rédactionnel mais il me semble que le devoir d’un élu est de signer une communication destinée à autrui même restreinte ! Il n’est pas sain de confier à d’autres un projet rédactionnel dont ils n’ont pas tous les tenants et aboutissants…
J’ai peur qu’une future publication d’un journal municipal coûteux n’apporte guère d’éclairage constructif et honnête pour l’avenir, tout en retraçant le passé récent d’une action programmatique pour notre cité. Certains pensent que l’édition d’un journal, dans lequel rien n’est mis en perspective, est rendu obligatoire tout comme la mise en chantier d’un troisième site Internet ! Chaque Maire veut laisser son empreinte sans trop révéler les projets, les difficultés rencontrées. Aucune volonté de mise en perspective ne se fait jour.
Mon rêve d’une saine transparence s’éloigne jour après jour…
Mon projet au travers de ce blog, se veut uniquement informatif. Bien entendu par défaut puis que le peuple élu n’y parvient pas ou difficilement.
Je ne souhaite jouer le rôle d’un aigri suite à ma démission. Il semble que l’histoire se joue perpétuellement et cela s’explique psychologiquement.
De toute façon je suis de fait exclut du cercle d’éventuelles informations municipales tout comme nos deux opposants. Y a-t-il jamais eu l’envie de communiquer ?
Au passage, je vous signale en retour aimable, l’existence du blog de nos deux opposants à l’adresse suivante : http://naypr.opposition.over-blog.com/
Un geste simple à initier serait d’aller vers autrui. De se réconcilier avec les personnes que vous appréciez ou non, de dissiper tout ce qui est « toxique », tout ce qui crée du mal être, de la souffrance mutuelle.
C’est là le fondement d’une humanité souhaitée !
Il est dommage de constater le manque d’une intelligence collective qui serait la capacité à réussir une collaboration afin de parvenir de se réunir « tous ensemble » ce que des individus ne parviendraient pas à réaliser seuls !
L’avenir nous en dira plus… si aux prochaines échéances un groupe à l’esprit volontaire et collaboratif s’unit, ce n’est pas gagné !
A suivre…
Le nom de « Walter » et le mot « résistance », Gilles Perret les a toujours associés. Avant même de savoir ce que cela signifiait, Gilles savait que son voisin Walter avait été déporté dans un camp de concentration du nom de Dachau …
Aujourd’hui Walter Bassan a 82 ans. Il vit avec sa femme en Haute-savoie, et mène une vie pour le moins active. D’écoles en manifestations, de discours engagés en témoignages de la guerre, Walter continue son long combat, fait de petites batailles, contre toutes les formes de démagogies, d’injustices et d’oppressions. De même que lorsqu’il avait 18 ans, et qu’il « jouait » comme il dit, à distribuer des tracts anti-fascistes dans les rues commerçantes d’Annecy alors occupée, Walter agit en écoutant son cœur. « Je n’ai pas changé », comme il se plait à rappeler.
Partageant ces mêmes « raisons du cœur », Gilles Perret réalise ici un portrait vivant de cet homme calme et insurgé. Nous sommes invités à les suivre en passant du Plateau des Glières à Dachau, à faire des retours en arrière pour mieux comprendre l’Histoire, à partager leurs inquiétudes face à un monde où l’inégalité et l’injustice gagnent sans cesse du terrain, à poser les questions qui fâchent...
Sans prétention, et avec la même simplicité et constance que Walter, ce documentaire révèle l’actualité, l’importance, et la nécessité, d’une résistance au quotidien.
La relecture d’anciens bulletins municipaux, en vue de l’élaboration d’un ‘’futur nouveau numéro’’ est tout à fait édifiante.
La mise en perspective six années plus tard des propos tenus dans les huit pages du bulletin N°1 de mars 2003 de la précédente mandature, pour un coût non négligeable au demeurant, permet de juger de l’absence concrète des ‘’ex-futures’’ réalisations de l’époque.
Faire imprimer un bulletin soit disant informatif de l’action des acteurs politiques en place sert-il réellement à quelque chose ? Acteur le mot est juste par ailleurs. Nombreux sont les affichages de complaisances… Rouler dans la farine avec de beaux mots, aux vues électoralistes, des citoyens qui ne perçoivent rien de leurs représentants élus au sein d’une mairie hermétique…
« Dormez tranquillement vos élus s’occupent de tout pour votre bien » tel un vil serpent hypnotisant un « ayez confiance, tout va bien… »
Je vous exposerai plus loin cette mise en perspective des mots écrits dont je fais mention ci-dessus…
Lettre adressée à monsieur le Maire de Nay, fin novembre, restée sans réponse pendant huit jours...
Monsieur,
Membre du conseil municipal de Nay depuis mars 2008, j’ai l’honneur de vous faire part ce jour ma démission de mon mandat d’adjoint au maire de Nay, auprès du Préfet des Pyrénées Atlantiques.
Je suis guidé par un profond et sincère esprit de probité et d’équité. Or, les découvertes et l’étude de faits, récents et d’autres passés, survenus dans la gestion de la ville, m’obligent à respecter mes principes intellectuels qui me guident.
Je demeure, pour l’heure, un modeste élu conseiller municipal. Le terme conseiller n’est pas le plus judicieux puisqu’il ne reçoit aucun écho dans la gestion de notre cité. Je me réserve le droit de démissionner du mandat de conseiller municipal, dans un second temps.
Merci malgré tout pour la confiance initiale déçue aujourd’hui par un profond manque de respect envers les idées électorales et ma personne.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.
KINOWSKI Gérard
Adjoint
Administration Générale
Vous attendez nombreux un bulletin d'informations "nommé désiré".
Depuis plus d'un an, j'attends avec impatience que certains adjoints et notre maire m'adresse en copie une synthèse des actions menées et à venir en coopération avec leur commission...
Or à ce jour j’apprends qu’une volonté farouche de ne rien m’adresser existe sans qu’aucune raison ne me soit signifiée. La situation s’est même aggravée depuis ma communication face au conseil municipal en date du 12 novembre dernier ! J’ai vraiment l’impression de me trouver en maternelle, dans d’incessantes querelles claniques.
Le ressenti d’un manquement dans la gestion de la cité fait apparaître des comportements personnels rejetant sur autrui des fautes que l’on refuse de voir pour soit même…
La préférence de passer par la société de communication qui édite le bulletin de la communauté des communes est semble t’il la volonté affirmée de faire paraître coûte que coûte une information même à minima afin de ne froisser personne.
Y trouvera t’on des mises en perspective de l’action menée, des découvertes mais il ne faut pas parler du passé (refus de voir l’évidence ou les sujets qui fâches), d’aborder les projets à venir. Pour rappel, lors de la campagne le groupe actuel ne s’était pas lancé dans une action programmatique d’envergure. Nous devions lancer la réfection du gymnase toutes affaires cessantes. Vingt mois plus tard, les piliers ont certes été refaits et plus rien…
Sinon en terme de communication, hormis mes nombreuses demandes dans un premier temps en interne depuis peu face à tous, point de volonté de communiquer. Même la presse présente le 12 novembre n’a fait bien entendu aucun « écho » à mes propos « alarmistes » qui se voulaient volontaires dans l’affirmation de changer pour l’ensemble des nayais.
Aucun retour d’informations sur toutes les commissions nombreuses hormis celles des « travaux – patrimoine » et encore elle n’évoque pas tout et sort même de son champ de compétences.
Comment faire part aux citoyens qui interpellent les rares conseillers piétons de l’action d’un groupe s’il n’existe aucun échange ?
En conclusion nous confions, faute de confiance, notre communication à d’autres comme avant, alors pourquoi afficher une idée de changement si tout infirme cette volonté initiale ?
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