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Gymnase : les travaux votés
15 mai 2010
Le conseil municipal s'est réuni dernièrement sous la présidence du maire Guy Chabrout.
Procès verbaux de séance : Avant d'ouvrir l'ordre du jour, diverses observations sont faites par des conseillers. Jean-Pierre Bonnassiolle annonce qu'avec sa collègue de l'opposition et sans mettre en cause la bonne volonté du secrétaire de séance, il s'abstiendra de voter le procès-verbal de la séance du 14 avril dans la mesure où, faute d'enregistrement des débats, ceux-ci ne sont qu'incomplètement transcrits.
De son côté, Jacques Mérino, absent lors de cette même séance, confirme que Gérard Kinowski à qui il avait donné procuration a parfaitement respecté sa volonté en votant contre le budget 2010 non concordant selon lui avec le débat d'orientation budgétaire, (section investissement). En conséquence il ne participera pas au vote de ce procès- verbal. Pour Isabelle Fitas et Pierre Bonnassiolle un compte-rendu ne doit pas reproduire le déroulement littéral des débats mais ils souhaitent plus de synthèse et de concision dans sa rédaction.
Richard Bauer, directeur général des services, rappelle que comme le font d'autres assemblées délibérantes, une mise en ligne filmée ou enregistrée permet une information précise du public. Mis aux voix, le procès-verbal est voté à la majorité de 15 voix.
Travaux au gymnase : Guy Chabrout rappelle au conseil que la commune a procédé à une consultation d'entreprises pour des travaux estimés à 500 000 euros HT. La commission d'appel d'offres réunie le 19 avril a attribué les marchés correspondant aux 10 lots de travaux. Le total des propositions retenues s'élève à 365 133,60 euros HT. Jean-Marc Grangé signale que les lots menuiserie intérieure et électricité n'ont fait l'objet que d'une offre chacun. Le chantier pourrait durer un an.
Le maire précise que la TVA sur ces travaux est récupérable. Avec un solde d'honoraires à régler à l'architecte (10 % des travaux), la rénovation du gymnase avoisinera les 470 000 euros, somme bien inférieure précise-t-il aux 800 000 euros minimum chiffrés par un cabinet spécialisé en 2006 (1 200 000 euros en option haute).
Jean-Pierre Bonnassiolle rappelle que s'il n'avait pas voté le budget primitif, ce n'était non pas contre la réhabilitation du gymnase elle-même, mais par le rejet de la construction de vestiaires indépendants susceptibles de bénéficier de subventions plus importantes. A la majorité moins deux voix, Jean-Pierre Bonnassiolle et Thérèse Fillastre ne participant pas au vote, le conseil autorise le maire à signer ces divers marchés.
Ecole maternelle : Le conseil vote une motion de soutien à l'école maternelle menacée d'une fermeture de classe en dépit de nouvelles inscriptions en Juin.
Eclairage public : Un nouveau contrat avec la Sté Cegelec à la rédaction duquel Sandra Rey a participé va simplifier la maintenance des 700 points lumineux de la ville. l
Salle Petit Boy : Une caution de 300 euros sera demandée aux utilisateurs de ce local. Le maire annonce un projet d'installation d'un Pôle Emploi dans une partie de ces locaux Gérard Kinowski demande que ce système de caution soit étendu au prêt de matériel.
Défibrillateurs : Sur proposition de Pierre Bonnassiolle, le conseil décide l'achat de deux défibrillateurs, appareils portables de premier secours pour interventions sur arrêt cardio-respiratoire.
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2010/05/28/le-colonel-des-pompiers-en-visite,138726.php
Une ou deux casernes ?
Nouvellement nommé directeur du SDIS 64 (Service départemental d'incendie et de secours), le colonel Michel Blankaert accompagné du colonel Patrick Geisler, chef du groupement territorial, a fait étape à Nay dans le cadre de sa tournée à travers Béarn et Pays basque.
Le contact avec cet officier sorti du rang a été simple et direct, lui-même étant ancien pompier volontaire. Parmi ses déclarations, retenons que dans la perspective du projet SDIS 2012 il a à son arrivée à Pau « constaté des dysfonctionnements » et procède en conséquence à la réorganisation totale des services « sans perdre de vue l'incidence des changements sur les hommes de terrain ». Une réforme importante va concerner le système d'alarme individuel avec le bip sélectif individuel (système Antarès), lequel va à terme supprimer l'usage de la sirène, tandis qu'une meilleure gestion des équipements va intervenir dans le domaine de l'habillement.
L'entretien avec l'ensemble du personnel a été l'occasion pour celui-ci d'aborder les questions spécifiques au centre de secours de Nay, « à l'étroit dans ses murs », a-t-il été signalé. La construction d'une nouvelle caserne, prévue à côté de la gendarmerie, permettrait « un regroupement des effectifs de Nay et Coarraze », garantie d'une meilleure gestion des effectifs soumis durant la journée aux obligations professionnelles.
Le colonel Blankaert a indiqué que concernant ce projet, deux critères seraient pris en considération : le meilleur emploi des fonds publics et la rationalité de la desserte du territoire concerné. « Les décideurs en la matière trancheront et chacun devra se soumettre à la décision prise », a conclu le colonel.
Ces deux articles démontrent comment l’information municipale circule à Nay. Il nous faut acheter le journal ou bien posséder un ordinateur et savoir trouver l’information dite « publique » afin de se tenir au courant.
Bien entendu rien ne circule au sein du conseil municipal en fait plus rien, silence absolu de rigueur ou incapacité ?
Les articles de nos journaux locaux étant très formatés, marqués politiquement, il demeure très difficile de se faire une opinion objective du fonctionnement de notre cité ! Il est également possible de lire une information qui devait être tenue secrète absolument et qui a été éventée par des personnes chargées de respecter la loi ! Il s’agissait de la reconstitution du meurtre Jérémy Censier lors des fêtes de Nay. Elle sera reportée ultérieurement...
Tout fonctionne à l’envers, ce que l’on nous cache est connu de tous, ce qui devrait être « entendu » est ignoré ! Cherchez l’erreur...
Au sujet de la future caserne des pompiers de Nay, eh oui il en faut une nouvelle car il faut toujours plus grand... Nos pompiers font preuve comme bien d’autres d’un fort esprit de lobby auprès des élus de tous bord. Personne ne met en perspective nos deux casernes proches, très proches. Nos pompiers, volontaires, sont aux services de tous les citoyens de la plaine. Il est reproché l’accès et la sortie problématique du site actuel de Nay tout comme celui de Coarraze. Alors pourquoi ne pas proposer un site médian, proche de tous, facile d’accès et proche de la rocade ? Cela serait logique et moins coûteux pour nos finances publiques ! Car tout cela a un coût pour les deux seules communes concernées, paiement d’une redevance au service départemental, d’une assurance du bâtiment, de taxes d’habitation et foncière, sans oublier l’oubli de la facturation du ménage...
Ne pourrait on envisager la prise de compétence au niveau intercommunal ? Pour cela il faudrait que les esprits s’éclaircissent, fassent preuve d’intelligence collective et de partage. C’est beaucoup demander !
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