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Pour l’heure, vous trouvez, à juste titre, mes écrits descriptifs assez rares.
A vrai dire, je trouve le déroulement de la vie politique à Nay dès plus lamentable.
Le niveau digne d’une cour de maternelle, pour le moins, dans le comportement oral de nos élus surtout nos élues chagrines, n’incite guère à la discussion positive. En effet, à l’écoute attentive des diverses réunions « publiques » et autres, nous déplorons ces chicaneries, ces enfantillages... Ces attitudes sont consternantes pour d’aucun qui serait amené à les entendre ou à regarder ce triste spectacle de nos institutions !
Ma coupe est pleine et ne peux en recevoir plus. Il me faut expurger toute cette noirceur, ces médisances, ces faits avérés non résolus, non perçus afin d’éclaircir mon horizon personnel et familial qui compte bien plus à mes yeux en ces heures sombres de notre histoire mal menée. La haine (c’est peu dire) qui c’est emparée, une fois de plus, de certains membres du conseil les aveugle, les rend sourds et inaudibles. Autant d’infirmités avérées est incompréhensible pour votre serviteur qui tente d’élever un enfant à l’esprit formidable qui a pour la gestion de sa scolarité le statut d’handicapé. Or mon enfant, comme bien d’autres, semble se rendre compte de bien des choses à faire et qui ne le sont pas ! Il me questionne sans cesse ! Ce sentiment est, semble t’il partagé par de rares élus lucides, agacés et c’est un euphémisme !
Cet état de fait, vous êtes nombreux, trop, à pouvoir en juger à l’aune des non réalisations, de l’absence toujours de mise de nos élus indemnisés avec plus 30% d’augmentation mensuellement mais pas plus de présence efficiente !
Pourtant des réalisations semblent montrer un début de changement « physique » à Nay !
Un premier rond point provisoire a été installé au cour Pasteur avant le pont de Claracq et un second définitif se dessine en haut de la Côte Saint martin. Seulement voilà, ces deux réalisations sont de responsabilité du Conseil Général. Le premier attendait depuis 10 ans un éternel feu vert de la mairie (en total conflit avec des intérêts privés), le second a pu être redéfini grâce à la volonté de notre maire actuel qui ne souhaitait pas être soumis au dictat d’un directeur d’établissement privé de mèche avec l’ancien Conseiller Général. En effet, la majorité du personnel et des élèves proviennent d’Asson et souhaitaient se voir ériger une voie nouvelle et deux ronds points à leur seul usage soit disant pour la mise en sécurité de l’accès à l’établissement. Cette mise en sécurité sera effective tout en empiétant sur le terrain de l’institution religieuse des Béatitudes ! Comme quoi il est toujours utile de communiquer, d’accepter une étude sérieuse sur toutes les possibilités...
Les intérêts privés ne doivent jamais prévaloir sur les intérêts généraux !
Il semble peu évident à certains que cela puisse être la règle malgré tous les beaux discours énoncés ! Les critiques valables pour autrui, anciens adversaires, ne sont guère perçues par certains élus ! Par ailleurs, il serait heureux et salutaire de communiquer sur les élus venus aux suffrages de leurs concitoyens afin de profiter de quelques prébendes, menus avantages, facilités, etc... Ceux qui s’exonèrent de ces pratiques encrées dans le paysage politique sont méprisés, rejetés et incompris ! Pourtant, je l’ai déjà exprimé publiquement, je m’honore de cette pratique.
A quoi bon se battre contre autant de mauvaise foi...
Ma quête de la vérité, d’une rigueur salvatrice, d’une hauteur de vue (méprisée, raillée même par notre maire) était incompatible avec mon agacement mué en esprit chagrin lutant contre toute cette mauvaise foi ambiante, ces mensonges avérés ! Certes monsieur le maire a fait apposé son nom au bas du tableau nominatif de tous les maires de Nay qu’il a lui-même commandé. Geste initial du premier magistrat tout heureux d’une revanche au départ que nous pensions heureuse pour la cité qui se révèle n’être qu’une simple revanche au final !
En effet, trois camarades de classes ont bien été maire de Nay, puisqu’ils estimaient tous trois qu’ils le valaient bien ! Ah une saine compétition entre ego de mâles poussés par leurs clans respectifs...
Je n’ai vraiment aucune raison de lutter contre ces affichages circonstanciés, complaisants. Le rejet psychologiquement explicable des soit disant « étrangers » au pays n’excuse pas tout et ne devrait plus être recevable en 2010 !
Qui peut encore prétendre être originaire d’ici et uniquement d’ici. Avoir seul le droit à présider aux destinées d’une cité endormie...
Cet oubli néfaste de toutes les composantes humaines n’augure rien de bon pour l’avenir et n’incite guère nos jeunes esprits à se développer dans la sérénité, la fraternité !
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