ÉDITO POLITIQUE

Je reçois des leçons politiques d’élus que j’avais considéré comme encartés. Or l’histoire m’apprend que l’un d’eux aurait participé aux tiraillements internes du parti de la « rose » et n’est plus encarté voire exclut. La division du clan aurait amené à la défaite électorale.

 

J’avais été le témoin comme invité lors de la fête de ce groupe de l’existence de « clans ». J’avais même eu la surprise d’apprendre que certains étaient des camarades, des années auparavant, mais la lutte pour le pouvoir avait créé des déchirements dont seuls les citoyens payaient l’addition au final ! C’est d’ailleurs toujours d’actualité à ce jour !

Je pense depuis, souvent, à cette question : comment des personnalités qui se haïssent autant peuvent ils prétendre aux destinées d’une cité, d’une inter communauté ?

Comment peuvent ils afficher des sourires complaisants et se tirer dans le dos sans cesse ?

Bien-sûr, ils peuvent toujours tenter de faire absoudre leurs médisances à la messe du dimanche en pratiquant également l’affichage convenu, mais est-ce suffisant ?

 

Comme je l’écrivais ci-dessus, au final nous les citoyens « d’en bas, le peuple » demeurons hors circuit, observateurs impuissants face à ces incohérences que nos élus ne perçoivent même plus ! Ils nous considèrent comme des : des zorros, des matamores, des redresseurs de tort, des hommes providentiels, des suffisants,  des mouches du coche, des donneurs de leçon, des beaux parleurs, des hâbleurs et autres incompris… Nous aurions tout le temps disponible pour n’émettre que des critiques, eux nettement moins mais ils étaient volontaires après tout…

Quel gâchis !