Ø Tu t’es exprimé avec beaucoup de cœur et de passion
Ø Nous en reparlerons toi et moi
Ø Quant ‘’on ‘’ appartient à un groupe
1. En premier on essaie de défendre le groupe
2. On essaie de corriger
3. pas en éclaboussant
4. ‘’on’’ est ouvert à la discussion avec toi
5. dans ton vocabulaire employé il y a des choses de l’ordre de ta vérité
6. c’est une attaque assez insupportable
7. beaucoup de nouveaux, apportant ce qu’ils peuvent
8. tu as exprimé un ressenti, qui nous égratigne beaucoup
Sur cet entre fait, départ de Martine Villacampa qui fait redescendre toute l’assistance sur terre. Des éclats de rires spontanés, soulagent l’atmosphère de cette séance.
Retour à l’ordre du jour et rapide prise de parole de Jacques Mérino qui revient sur l’interprétation du maire
1. on appartient à un groupe, une philosophie
2. c’est une liberté d’expression
3. Gérard exprime des propos libres, dit ce qu’il pense
4. je ne vois aucune attaque inacceptable
5. c’est un peu brut de décoffrage
6. il ne faut pas se comporter comme des godillots
Le maire répond par une petite attaque « je t’ai délégué pour la réalisation d’un journal » et ne souhaite pas condamner le passé !
Une seconde interprétation émane du premier adjoint : « tu te sens persécuté » on en reparlera, un repas nous attend après la réunion du conseil municipal de ce soir…
Pour votre information, je me dois de vous expliquer l’historique de cette interpellation.
Tout d’abord, vingt mois après les élections, trois réunions dont une seule du groupe majoritaire, il s’avère très difficile d’être écouté, compris.
Le partage d’information, d’expérience est rare voire inexistant !
Après la lecture de mon message, je n’ai reçu aucun appel, aucune demande du maire pour faire le point ni des autres conseillers, hormis un soutien de Jacques Mérino et Sandra Rey pour avoir eu le courage de m’exprimer dans cette assistance.
Vous vous posez sans doute la question de la non évocation de cette ‘’prise de parole’’ dans la presse pourtant présente ce soir là, où même au travers des bruits de rue.
Est-ce la connivence ou de la bienveillance entre nayais ? (Moi qui n’en suis pas un)
Faute d’être reçu par le manque de volonté affirmée de notre maire, j’ai décidé de démissionner de mon mandat d’adjoint dans un premier temps.
Je ne souhaite aucunement être indemnisé 548€ par mois pour faire semblant, passer pour leur vilain petit canard qui n’entend rien à la politique nayaise.
Je demande à être jugé sur mes paroles précises certes, mais faute d’écoute que me restait’il à faire hormis d’être un adjoint considéré comme opposant.
A propos, il se trouve que c’était la position réelle de notre maire précédemment. Premier adjoint opposant (non affiché) de son ami d’enfance, il aurait tout fait pour couler M. Triep pendant que M. Malterre avait ourdi un complot pour s’assurer de la place de maire. Garder auprès de soi un ami indemnisé comme adjoint pour soit disant contrecarrer des projets d’une équipe municipale, quelle équipe en vérité ! La classe non !
Bref, après vingt mois de découverte guère glorieuses pour l’ensemble des élus passés et actuels, (c’est vrai personne ne veut revenir sur le passé, comment tenter de vous expliquer la situation présente ? ) tant de vaines tentatives d’interpellation des élus, de trop rares disponibilités avouées, aucunes écoutes attentives pour trouver des solutions ensemble, avec un esprit d’équipe réel non d’affichage, vielle habitude nayaise très tenace et détestable pour le moins par votre serviteur…
Je me suis rendu malade, j’enrageai à l’intérieur.
Au final c’est moi que notre maire, à qui je dois la fierté d’avoir été élu, après avoir salué maintes fois celui qui avait raison, avait beaucoup d’idées, exprimait vivement ses émotions, ses ressentis, sa vérité, tout cela pour m’amener à respecter ma droiture, ma fierté d’être simplement honnête et démissionner.
Certes je revendique une filiation d’esprit avec un certain Don Quichotte. Mais içi, je ne comprends pas autant de haine clanique, comment peut-on espérer gouverner les uns contre autres ?
Quel sera le résultat prévisible de la prochaine élection au suffrage à la proportionnelle. Ah zut, vous ne pourrez plus jouer à rayer un tel au profit d’un autre. Nous retrouverons le clan Malterre contre le clan Chabrout, en concurrence avec une liste de non nayais ? Trouver 27 candidats ne sera guère aisé, seuls les têtes de liste passeront ! Et Nay se réveillera avec Malterre contre Chabrout et six années à attendre…
Le candidat idéal, pas encore né, serait doté des qualités propres aux trois des quatre derniers maires :
Ø connaissance en gestion administrative de M. Cantet,
Ø de prestance, d'orateur de M. Malterre,
Ø d'humanité de M. Chabrout,
Ø d’analyse des trois.
Or, ces trois camarades de classe, eh oui, ne veulent s’entendre pour le bien de Nay… Les qualités susmentionnées sont assujetties au fait qu’ils sont des « politiques » habiles, rancuniers. Cela se devient un défaut additionné à un manque de communication et une incapacité de chef. Leur aveuglement les empêche d’agir ensemble pour le bien de Nay.
Personne n’est en capacité, actuellement, de rassembler une équipe disponible en nombre, qualifiée, ayant un sens profond d’honnêteté intellectuelle afin de mettre sa commune en avant, dégagée de tout service à rendre et d’intérêt d’ordre privé…
Ils assument le pouvoir solitaire de maire outre les indemnités en retour (celles de vice-président de la Communauté des Communes, de président du syndicat de l’assainissement, de vice-président de l’eau et d’autres peut être…). Mais c’est sûrement moi qui pense mal, il est vrai que seul le maire peu porter des projets.
Les adjoints ne servent à rien à Nay ! Nous avons même créé des adjoints saisonniers, d’autres par correspondance, certains perdus dans des pratiques peu orthodoxes, d’affichage, il en faut …
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