Hier, mercredi 20 janvier en soirée, en préambule de la réunion du conseil municipal, je me suis entretenu avec notre Maire pour lui faire part de mon étonnement au sujet d’un article sorti dans la presse locale à propos de ses voeux prononcés le samedi 9 janvier.
La mise en perspective retracée dans l’article précédent ci-dessous, mérite également un petit correctif d’appréciation. Les vœux prononcés à la lecture d’un récit manuscrit, il vaut mieux s’appuyer sur ses propres écrits devant un auditoire attentif, ne faisaient pas paraître d’accusation nominative envers ma personne mais plutôt mettait en avant ma fonction précédente d’adjoint…et une certaine difficulté évoquée, suggérée dans la non réalisation d’une communication à destination des citoyens nayais.
J’ai sollicité la possibilité de pouvoir être en possession d’une copie du texte manuscrit des vœux afin de demander un correctif « au correspondant de presse » ou du moins de fournir des explications précises sur les faits internes au fonctionnement public d’une mairie et d’un élu, j’attends donc à présent cette copie…
Je m’étonnais d’un manque d’élégance de notre maire, je lui fais grâce de cette qualité, pour l’heure. Nous pouvons avoir, certes d’évidence, des divergences faute de concertation, essentiellement parce que nous sommes toutes et tous différents. Il faut vous signaler la difficulté de pouvoir se sortir des faits et dossiers à gérer, tout en s’autorisant une hauteur de vue guère partagée ! Je regrette le premier cette défiance. Je peux la comprendre. Mais l’obstination, l’entêtement tout Béarnais voire français allié au refus délibéré d’écouter et surtout faire l’effort de compréhension m’agace au plus haut point. Je ne suis pas le seul, sachez le !
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